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Je pensais que la course aux pixels allait connaître quelques ralentis pour se concentrer sur les capteurs, les optiques mais voici qu'Hasselblad annonce un boîtier à 50 mégapixels ! Qui aura l'utilisation d'un tel boîtier dont le prix se chiffrera en dizaine de milliers d'euros sans aucun doute.
Rédigé à 18:47 dans Matos | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
L'arrivée du D700 full-frame avec son capteur CMOS offrant une plage de sensibilité de 200 à 6400 ISO, est le boîtier professionnel correspondant parfaitement à l'utilisation que je peux en faire : nature, montagne, campagne... Moins lourd qu'un D3, avec un autofocus à 51 collimateurs, il devrait exceller dans plus d'un usage avec bon nombre de caractéristiques reprises de son grand frère, le D3 dont l'évolution reste envisagée pour les mois à venir.
Rédigé à 08:26 dans Matos | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Chaque jour qui passe, l'annonce de nouveaux matériels Nikon se fait encore plus précise en confirmant l'arrivée du boîtier D700 full-frame, d'un flash SB900 et de deux optiques : un Nikkor PCE-E micro 85 f/2.8 D et un Nikkor PC-E Micro 45mm f/2.8 D.
Rédigé à 05:33 dans Matos | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
D 700 Full Frame, D3X à plus de vingt millions de pixels, flash SB 900, l'été pourrait s'annoncer chaud chez Nikon entre les rumeurs, les vérités qui devraient se confirmer... Il est certain qu'un ou deux nouveaux boîtiers devraient être officialisés au cours des semaines à venir et sans doute de nouveaux accessoires comme un flash puisque le SB 800 commence "à dater". Je rêve d'un D3 X à plus de vingt millions de pixels mais en moins lourd que le D 3 pour l'embarquer en montagne tout en gérant plus facilement la poussière. Si l'on en croit les quelques précisions sur l'éventuel Nikon D 700, il resterait à un peu plus de 12 millions de pixels. Information à suivre, à confirmer ou démentir, chacun y va de ses suppositions comme sur le site des pixelistes. Il nous reste plus qu'à attendre et espérer ?
Rédigé à 10:11 dans Matos | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
L'information n'a plus rien de confidentielle et Nikon France le fait savoir dans un communiqué de presse.
"Nikon occupe la première place en volume et en valeur, et contribue à la croissance du marché des reflex.
En représentant plus de 40%* de part de marché en valeur, Nikon occupe la première place du podium sur le marché des reflex numériques et joue un rôle très important dans la croissance de ce segment.
Nikon est d’autant plus fier d’annoncer ces résultats que cela fait 60 ans cette année que Nikon conçoit des appareils photo et 75 ans que Nikon fabrique ses propres objectifs. Les clients ont donc naturellement choisi de faire confiance à un acteur historique de la photo.
N°1 en volume et en valeur sur les reflex numériques
En février 2008, tout comme le mois précédent, Nikon s’impose comme étant le leader sur le marché du reflex numérique :
- en valeur, avec 42,7 % de part de marché*
- en volume, avec 37,8 % de part de marché*
Par ailleurs, la croissance de Nikon sur le mois de Février 2008 versus Février 2007 (+ 30% en valeur et + 43% en volume*) est plus forte que celle du marché des reflex, la marque contribue donc largement au dynamisme des ventes de ce segment de marché.
C’est grâce à sa gamme variée, s’adressant à un public large, allant du photographe débutant au professionnel, que Nikon a réussi à se distinguer de ses concurrents. Les Nikon D40, D40x, D80, D300, D3 ont tous contribué à la croissance de Nikon. Benoît de Dieuleveult, Directeur de la Division Image de Nikon France explique : « L’arrivée effective sur le marché des Nikon D3 et Nikon D300 a eu pour effet une croissance immédiate du marché et la tendance va continuer avec l’arrivée du D60 ».
Au sujet de la stratégie de Nikon sur le marché des reflex, Benoît de Dieuleveult affirme que « 2008 sera une très belle année pour Nikon, avec encore de beaux produits à venir. Nous comptons réellement nous développer sur le créneau du milieu de gamme, où nous allons être encore plus performants ».
En occupant la 1ère place sur les reflex, Nikon a ouvert une porte pour s’imposer aussi sur le marché des compacts numériques.
60 ans déjà que Nikon a conçu son premier appareil photo !
Il y a 60 ans, Nikon créait pour la première fois son appareil photo télémétrique 35 mm avec objectif interchangeable. Puis, en 1959, le légendaire Nikon F, premier reflex, naissait ; un appareil photo qui a marqué le début d’un succès incroyable amenant Nikon aujourd’hui à être le leader du marché des reflex.
Pour rester dans les dates d’anniversaires, notons que cela fait 75 ans que Nikon conçoit ses propres objectifs et vient de dépasser les 40 millions d’unités vendues. Aussi depuis ces nombreuses années, la marque s’appuie sur son savoir-faire historique en conservant sa célèbre monture F et en proposant constamment des innovations.
Deux belles dates d’anniversaires pour Nikon qui nous réserve encore de belles innovations au cours des années à venir…
Un aperçu du marché de la photo numérique
Depuis quelques années, les spécialistes du marché de la photo numérique annoncent que les reflex numériques joueront un rôle décisif dans l’univers de la photo. Aujourd’hui, leur analyse s’avère être plus que juste, surtout au vu des derniers chiffres concernant le marché de la photo.
En effet, le marché des reflex numérique tire largement son épingle du jeu. En France, ce segment a augmenté de 39% en 2006* et de 32 % en 2007 en volume*. Il s’est vendu 350 000 reflex en 2007, et ce marché représentait en valeur 260 millions d’euros. Il devrait s’élever à 280 millions d’euros en 2008."
*Source GFK France – Février 2008-Communiqué de presse de Nikon France
Voici de quoi me faire plaisir d'avoir choisi Nikon depuis plus de vingt ans. Dis "monsieur Nikon", ton D300, tu ne veux pas le sortir en full-frame ? Cela m'arrangerait tellement.
Rédigé à 19:36 dans Matos | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Avec l'avènement numérique où tout en chacun s'est cru devenir photographe en appuyant sur le déclencheur avant de faire des petits arrangements avec la lumière, le contraste, le "bruit", nous avions presque oublié les bonheurs de l'argentique.
Profitant de journées de pluie sur le Béarn, j'ai ouvert les boîtes renfermant mes précieuses planches Panodia où sont archivés des milliers d'ektas légendés, classés... Du bonheur à regarder en pleine lumière pour se souvenir que seulement voici deux ou trois ans, les rédactions comme les agences acceptaient encore nos diapos. C'était une époque où les microstocks étaient encore quasi inexistants et où des "amateurs" (sans allusion péjorative) ont cru que leurs images avaient une valeur en les vendant quelques euros ici ou là. Ce qui pouvait faire partie des réflexions d'avenir pour la profession avec des stratégies de volume, est aujourd'hui "pollué" par des "amateurs" qui n'en ont rien à faire pour la majorité d'entre-eux des combats de notre profession : droits d'auteur, reconnaissance d'un coût du travail... De nombreuses petites agences de pub et autres webmasters peu scrupuleux, n'ont eu aucune difficulté à venir s'approvisionner dans les portfolios de 90% d'amateurs sans doute en microstock sans se soucier de l'avenir des photographes qu'ils faisaient travailler jusqu'au début des années 2000. Il faut souhaiter que des règles fiscales et sociales viennent faire le tri dans ce joyeux bazar organisé, souvent depuis les USA avec des lectures bien particulières de la notion de "Royaltie Free". Je ne jette pas la pierre à ces "photographes du we" mais je souhaite aussi qu'il puisse s'investir un peu plus dans la connaissance de notre métier en allant par exemple sur le site de l'UPC ou tout au moins, adopter une posture moins individualiste sous prétexte que ce sont des effets de la mondialisation, etc., et autres discours abscons tenus par des gens qui pour la plupart d'entre-eux n'ont jamais connu les longues heures d'indexation sur les tables lumineuses avec le compte-fil. Certains d'entre-eux, ont aujourd'hui conscience de ces problématiques. Ils sont aujourd'hui les premiers à venir se renseigner aux Agessa, à l'UPC et même à quitter les microstocks pour une démarche semi-professionnelle ou professionnelle louable.
Mais laissons de côté ce coup de gueule contre ces "arrivistes de la photo numérique" pour reparler "ektas".
Il est aujourd'hui pratiquement impossible d'arriver dans une rédaction avec des ektas sous planches à moins de se voir offrir un fin de non-recevoir.
Face à l'étendue de mes planches, près de dix mille ektas en 24x36, je me vois contraint à refaire une sélection pour les numériser en haute définition. Un travail difficile quand il faut juger des images qui méritent d'être vendues en agence, presse, etc., et celles condamnées à finir dans des sacs poubelles ou dans des tirages papier pour quelques-unes.
Point de salut pour scanner des images en haute définition sans un scanner à film du type des coolscan de Nikon. Les scanners à plat n'offrent pas des caractéristiques suffisantes pour espérer des fichiers autorisant au minimum des 20 x 30, voir 30 x 40.
Je me faisais cette réflexion devant l'étendue du travail qui va m'attendre pour seulement scanner environ 500 ektas. Les laboratoires professionnels proposent ce service en qualité supérieure pour des tarifs entre 2 et 4 € l'unité. Je lance donc un appel à celui qui dispose d'un Super Coolscan 5000 dont il n'aurait plus l'utilité afin de me le vendre d'occasion ou de me le louer pour une période de trois mois minimum.
Sinon je me résoudrais à en acheter un neuf pour le revendre ensuite rapidement avec une perte qui est souvent limitée à 20% tant ce produit est recherché.
Il me reste ensuite à espérer de nouvelles journées de pluie pour scanner ou sinon je vais débaucher des petites mains pour ce travail laborieux et nécessaire.
Simples réflexions d'un lundi de Pâques sous la pluie devant une pile de planches Panodia.
Je compatis avec tous les confrères et consoeurs qui sont devant la même problématique : Gilles, Luc, Laurence...
Rédigé à 20:04 dans Matos | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
Plus un jour ne passe sans que soit annoncé sur les blogs et forums français comme étrangers, un hypothétique Canon 5 D Mark II ! Serait-il une réponse à l'excellent D3 de chez Nikon ?
À croire, les dernières "rumeurs", ce nouveau boîtier Canon serait équipé d'un capteur CMOS Full Frame de 15 MP, d'un processeur DIGIC III 14 bits, d'un autofocus de 29 points, d'une sensibilité Iso maximum de 12 800... Le boîtier serait en outre tropicalisé et disposerait d'un écran LCD de 3 pouces. Bien évidemment, ces infos ne sont pas encore vérifiées en l'état actuel et à la différence de quelques sites, je ne vais pas me lancer dans des suppositions tant que je ne peux croiser les informations.
Si un tel boîtier devait sortir, il serait le digne successeur du 5 D mais peu de temps après la sortie de l'EOS- 1Ds Mark III, la marque Canon ne serait-elle pas en train de se tirer une balle dans le pied avec de telles caractéristiques si elles étaient avérées. Ce boîtier suffirait à de nombreux professionnels qui n'auraient pas envie de lâcher plus de 3 500 dollars (prix qui circule sur le net !).
Si le Canon 5D Mark II devait sortir au cours du printemps, je vous promets qu'il sera décortiqué pour en connaître tous les atouts et... les défauts.
Mais pour le moment, la seule annonce "supposée" de ses caractéristiques est presque fantasmagorique pour le Nikoniste fidèle que je suis.
Rédigé à 17:02 dans Matos | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)